POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
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Daiko
montemoro
marie34
Nala
Liloucette
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POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
Mon Ozane …..
Plus jamais je ne t’appellerais
Par tous ces mille et un surnoms que je te donnais
Tu m’avais choisie ce jour où j’étais venue
J’allais repartir quand je t’ai vue
Je cherchais un croisé griffon mais toi, tu m’as retenue
Quand je suis rentrée dans ton box, tu m’as sauté dessus
Tu as posé tes pattes sur moi, ça y est c’était foutu.
Quand je suis ressortie tu t’es mise à pleurer
De pleurer tu ne t’es plus arrêtée
Au loin nous t’entendions, le sort en était jeté.
La dame m'a dit "elle vous a adopté"
A la SPA nous sommes quand même allés
Devant le box de Papaye nous nous sommes arrêtés
Une grosse mère griffon, voilà mon souhait réalisé
A l’accueil nous nous sommes renseignés
Pour avoir mordu un enfant elle avait été abandonnée
Comment croire cela quand si jeune il s’agissait encore d’un bébé.
Pourtant nous sommes repartis, tes pleurs ne cessaient de me hanter.
Au refuge nous sommes donc retournés
Avec ton maître, qui te trouvait trop grande, il a fallu négocier
Puis, grande gigue et maigre, nous t’avons adoptée.
A la maison tu es arrivée
Tu as sauté sur Chouki, pourtant arrivé premier
Avec ta patte, plus d’une fois, son dos tu as failli cassé
Seulement par jeu et par brutalité et non par méchanceté
Mais nous t’avons gardé et tu t’es bien remplumée.
De ton maître tu avais peur quand il t’appelait
De grands cercles autour de lui tu faisais.
Battue tu avais dû l’être je m’en doutais.
Un jour, sur sa jambe, ta tête tu as posé
Ta confiance tu lui avais donnée
Un an il m’a fallu pour m’habituer à toi, m’attacher.
Puis je n’ai plus cessé de t’aimer.
Dans tes pattes tu nous serrais
De bonheur, dans l’herbe tu te roulais
Des massages ton maître te faisait
Alors tes fesses tu présentais
Les câlins tu adorais.
Je posais ma tête tout contre toi
Des bruits de bien-être tu me faisais rien que pour moi
Nous nous regardions dans les yeux toi et moi
Et point de doute, d’amour nous nous aimions toi et moi.
Mais voilà tu as vieilli
Opérée trois fois pour ta survie
Résistante et toujours ,dans les yeux, amoureuse de la vie
Puis de l’arthrose tu as pris.
Pour l’aller, contente de se balader
Pour le retour, pressée de rentrer
Tu commençais à fatiguer.
De la chaleur tu souffrais
Alors ton souffle dans la nuit s’accélérait
Ta petite tête je mouillais
Ta respiration alors s’apaisait.
Du tonnerre tu avais peur
Et je crois bien que de cela tu en es morte
Je n’étais pas là cette nuit-là
Sinon je crois que tu serais encore là.
Je pressentais que c’était ta dernière année
Que très longtemps je n’allais pouvoir te garder
Mais quelques mois tu serais encore restée
Si mon pressentiment j’avais écouté
J’avais vu à la météo chaleur et orage, un pressentiment s’était présenté.
Dans cette pension, avec ton copain Chouki, je t’ai laissé,
Comme toutes les années,
Pour qu’en vacances nous puissions aller
Contente de te balader, dans la voiture tu as grimpé.
J’avais bien pensé cette fois t’emmener
Mais l’appartement n’était pas climatisé.
Toute seule, dans la nuit tu es décédée
Je n’étais pas là pour te réconforter.
Si tu savais combien est grande ma culpabilité
Ce n’est pas comme cela que j’envisageais de te quitter
Moi je voulais dans un dernier adieu t’accompagner.
Cette nuit là, ma belle-mère n’a rien dormi
Le tonnerre était paraît-il atroce cette nuit
A 3 heures du matin, elle a eu un flash, nous a vu toi et nous.
Moi je suis allée fermer la fenêtre cette nuit
Un coup de tonnerre j’ai entendu
Je me dis que c’était peut-être à ce moment là
Que ton dernier souffle a été entendu.
C’était dans la nuit du 14 au 15 juillet
Pour mon anniversaire tu m’as laissée
Mes pleurs ne font que couler
De ton absence, mon cœur ne fait que saigner
Un grand vide tu as laissé.
Excuse-moi mon Ozane de t’avoir laissée
Je t’ai vue, tu étais toujours belle
Ce soir tu seras parmi nous
Ton maître va te ramener poussière
Au pied du figuier tu reposeras
Je suis si triste
Mais pendant 9 années heureuse tu as été.
Ma Liloucette, le loup de sa mère que j’aime tant, Liloute, Zazou, notre Zaz
Celle qui fait que désormais tous les bergers allemands s'appellent des Zaz désormais
Une dernière fois je te le dis
«Qu’est-ce qu’on s’aime toutes les deux hein ?
On s’aime d’amour toutes les deux »
Mon Ozane …..
Plus jamais je ne t’appellerais
Par tous ces mille et un surnoms que je te donnais
Tu m’avais choisie ce jour où j’étais venue
J’allais repartir quand je t’ai vue
Je cherchais un croisé griffon mais toi, tu m’as retenue
Quand je suis rentrée dans ton box, tu m’as sauté dessus
Tu as posé tes pattes sur moi ça y est c’était foutu.
Quand je suis ressortie tu t’es mise à pleurer
De pleurer tu ne t’es plus arrêtée
Au loin nous t’entendions, le sort en était jeté.
A la SPA nous sommes quand même allés
Devant le box de Papaye nous nous sommes arrêtés
Une grosse mère griffon, voilà mon souhait réalisé
A l’accueil nous nous sommes renseignés
Pour avoir mordu un enfant elle avait été abandonnée
Comment croire cela quand si jeune il s’agissait encore d’un bébé.
Pourtant nous sommes repartis, tes pleurs ne cessaient de me hanter.
Au refuge nous sommes donc retournés
Avec ton maître, qui te trouvait trop grande, il a fallu négocier
Puis, grande gigue et maigre, nous t’avons adoptée.
A la maison tu es arrivée
Tu as sauté sur Chouki, pourtant arrivé premier
Avec ta patte, plus d’une fois, son dos tu as failli cassé
Seulement par jeu et par brutalité et non par méchanceté
Mais nous t’avons gardé et tu t’es bien remplumée.
De ton maître tu avais peur quand il t’appelait
De grands cercles autour de lui tu faisais.
Battue tu avais dû l’être je m’en doutais.
Un jour, sur sa jambe, ta tête tu as posé
Ta confiance tu lui avais donnée
Un an il m’a fallu pour m’habituer à toi, m’attacher.
Puis je n’ai plus cessé de t’aimer.
Dans tes pattes tu nous serrais
De bonheur, dans l’herbe tu te roulais
Des massages ton maître te faisait
Alors tes fesses tu présentais
Les câlins tu adorais.
Je posais ma tête tout contre toi
Des bruits de bien-être tu me faisais rien que pour moi
Nous nous regardions dans les yeux toi et moi
Et point de doute, d’amour nous aimions toi et moi.
Mais voilà tu as vieilli
Opérée trois fois pour ta survie
Résistante et toujours amoureuse de la vie
Puis de l’arthrose tu as pris.
Pour l’aller contente de se balader
Pour le retour pressée de rentrer
Tu commençais à fatiguer.
De la chaleur tu souffrais
Alors ton souffle dans la nuit s’accélérait
Ta petite tête je mouillais
Ta respiration alors s’apaisait.
Du tonnerre tu avais peur
Et je crois bien que de cela tu en es morte
Je n’étais pas là cette nuit-là
Sinon je crois que tu serais encore là.
Je pressentais que c’était ta dernière année
Que très longtemps je n’allais pouvoir te garder
Mais quelques mois tu serais encore restée
Si mon pressentiment j’avais écouté
J’avais vu à la météo chaleur et orage, un pressentiment s’était présenté.
Dans cette pension, avec ton copain Chouki, je t’ai laissé,
Comme toutes les années,
Pour qu’en vacances nous puissions aller
Contente de te balader, dans la voiture tu as grimpé.
J’avais bien pensé cette fois t’emmener
Mais l’appartement n’était pas climatisé.
Toute seule, dans la nuit tu es décédée
Je n’étais pas là pour te réconforter.
Si tu savais combien est grande ma culpabilité
Ce n’est pas comme cela que j’envisageais de te quitter
Moi je voulais dans un dernier adieu t’accompagner.
Cette nuit là, ma belle-mère n’a rien dormi
Le tonnerre était paraît-il atroce cette nuit
A 3 heures du matin, elle a eu un flash, nous a vu toi et nous.
Moi je suis allée fermer la fenêtre cette nuit
Un coup de tonnerre j’ai entendu
Je me dis que c’était peut-être à ce moment là
Que ton dernier souffle a été entendu.
C’était dans la nuit du 14 au 15 juillet
Pour mon anniversaire tu m’as laissée
Mes pleurs ne font que couler
De ton absence, mon cœur ne fait que saigner.
Excuse-moi mon Ozane de t’avoir laissée
Je t’ai vue tu étais toujours belle
Ce soir tu seras parmi nous
Ton maître va te ramener poussière
Au pied du figuier tu reposeras
Je suis si triste
Mais pendant 9 années heureuse tu as été.
Ma Liloucette, le loup de sa mère que j’aime tant, Lilou,
Une dernière fois je te le dis
«Qu’est-ce qu’on s’aime toutes les deux
On s’aime d’amour toutes les deux »
Mon Ozane …..
Plus jamais je ne t’appellerais
Par tous ces mille et un surnoms que je te donnais
Tu m’avais choisie ce jour où j’étais venue
J’allais repartir quand je t’ai vue
Je cherchais un croisé griffon mais toi, tu m’as retenue
Quand je suis rentrée dans ton box, tu m’as sauté dessus
Tu as posé tes pattes sur moi ça y est c’était foutu.
Quand je suis ressortie tu t’es mise à pleurer
De pleurer tu ne t’es plus arrêtée
Au loin nous t’entendions, le sort en était jeté.
A la SPA nous sommes quand même allés
Devant le box de Papaye nous nous sommes arrêtés
Une grosse mère griffon, voilà mon souhait réalisé
A l’accueil nous nous sommes renseignés
Pour avoir mordu un enfant elle avait été abandonnée
Comment croire cela quand si jeune il s’agissait encore d’un bébé.
Pourtant nous sommes repartis, tes pleurs ne cessaient de me hanter.
Au refuge nous sommes donc retournés
Avec ton maître, qui te trouvait trop grande, il a fallu négocier
Puis, grande gigue et maigre, nous t’avons adoptée.
A la maison tu es arrivée
Tu as sauté sur Chouki, pourtant arrivé premier
Avec ta patte, plus d’une fois, son dos tu as failli cassé
Seulement par jeu et par brutalité et non par méchanceté
Mais nous t’avons gardé et tu t’es bien remplumée.
De ton maître tu avais peur quand il t’appelait
De grands cercles autour de lui tu faisais.
Battue tu avais dû l’être je m’en doutais.
Un jour, sur sa jambe, ta tête tu as posé
Ta confiance tu lui avais donnée
Un an il m’a fallu pour m’habituer à toi, m’attacher.
Puis je n’ai plus cessé de t’aimer.
Dans tes pattes tu nous serrais
De bonheur, dans l’herbe tu te roulais
Des massages ton maître te faisait
Alors tes fesses tu présentais
Les câlins tu adorais.
Je posais ma tête tout contre toi
Des bruits de bien-être tu me faisais rien que pour moi
Nous nous regardions dans les yeux toi et moi
Et point de doute, d’amour nous aimions toi et moi.
Mais voilà tu as vieilli
Opérée trois fois pour ta survie
Résistante et toujours amoureuse de la vie
Puis de l’arthrose tu as pris.
Pour l’aller contente de se balader
Pour le retour pressée de rentrer
Tu commençais à fatiguer.
De la chaleur tu souffrais
Alors ton souffle dans la nuit s’accélérait
Ta petite tête je mouillais
Ta respiration alors s’apaisait.
Du tonnerre tu avais peur
Et je crois bien que de cela tu en es morte
Je n’étais pas là cette nuit-là
Sinon je crois que tu serais encore là.
Je pressentais que c’était ta dernière année
Que très longtemps je n’allais pouvoir te garder
Mais quelques mois tu serais encore restée
Si mon pressentiment j’avais écouté
J’avais vu à la météo chaleur et orage, un pressentiment s’était présenté.
Dans cette pension, avec ton copain Chouki, je t’ai laissé,
Comme toutes les années,
Pour qu’en vacances nous puissions aller
Contente de te balader, dans la voiture tu as grimpé.
J’avais bien pensé cette fois t’emmener
Mais l’appartement n’était pas climatisé.
Toute seule, dans la nuit tu es décédée
Je n’étais pas là pour te réconforter.
Si tu savais combien est grande ma culpabilité
Ce n’est pas comme cela que j’envisageais de te quitter
Moi je voulais dans un dernier adieu t’accompagner.
Cette nuit là, ma belle-mère n’a rien dormi
Le tonnerre était paraît-il atroce cette nuit
A 3 heures du matin, elle a eu un flash, nous a vu toi et nous.
Moi je suis allée fermer la fenêtre cette nuit
Un coup de tonnerre j’ai entendu
Je me dis que c’était peut-être à ce moment là
Que ton dernier souffle a été entendu.
C’était dans la nuit du 14 au 15 juillet
Pour mon anniversaire tu m’as laissée
Mes pleurs ne font que couler
De ton absence, mon cœur ne fait que saigner.
Excuse-moi mon Ozane de t’avoir laissée
Je t’ai vue tu étais toujours belle
Ce soir tu seras parmi nous
Ton maître va te ramener poussière
Au pied du figuier tu reposeras
Je suis si triste
Mais pendant 9 années heureuse tu as été.
Ma Liloucette, le loup de sa mère que j’aime tant, Lilou,
Une dernière fois je te le dis
«Qu’est-ce qu’on s’aime toutes les deux
On s’aime d’amour toutes les deux »
Plus jamais je ne t’appellerais
Par tous ces mille et un surnoms que je te donnais
Tu m’avais choisie ce jour où j’étais venue
J’allais repartir quand je t’ai vue
Je cherchais un croisé griffon mais toi, tu m’as retenue
Quand je suis rentrée dans ton box, tu m’as sauté dessus
Tu as posé tes pattes sur moi, ça y est c’était foutu.
Quand je suis ressortie tu t’es mise à pleurer
De pleurer tu ne t’es plus arrêtée
Au loin nous t’entendions, le sort en était jeté.
La dame m'a dit "elle vous a adopté"
A la SPA nous sommes quand même allés
Devant le box de Papaye nous nous sommes arrêtés
Une grosse mère griffon, voilà mon souhait réalisé
A l’accueil nous nous sommes renseignés
Pour avoir mordu un enfant elle avait été abandonnée
Comment croire cela quand si jeune il s’agissait encore d’un bébé.
Pourtant nous sommes repartis, tes pleurs ne cessaient de me hanter.
Au refuge nous sommes donc retournés
Avec ton maître, qui te trouvait trop grande, il a fallu négocier
Puis, grande gigue et maigre, nous t’avons adoptée.
A la maison tu es arrivée
Tu as sauté sur Chouki, pourtant arrivé premier
Avec ta patte, plus d’une fois, son dos tu as failli cassé
Seulement par jeu et par brutalité et non par méchanceté
Mais nous t’avons gardé et tu t’es bien remplumée.
De ton maître tu avais peur quand il t’appelait
De grands cercles autour de lui tu faisais.
Battue tu avais dû l’être je m’en doutais.
Un jour, sur sa jambe, ta tête tu as posé
Ta confiance tu lui avais donnée
Un an il m’a fallu pour m’habituer à toi, m’attacher.
Puis je n’ai plus cessé de t’aimer.
Dans tes pattes tu nous serrais
De bonheur, dans l’herbe tu te roulais
Des massages ton maître te faisait
Alors tes fesses tu présentais
Les câlins tu adorais.
Je posais ma tête tout contre toi
Des bruits de bien-être tu me faisais rien que pour moi
Nous nous regardions dans les yeux toi et moi
Et point de doute, d’amour nous nous aimions toi et moi.
Mais voilà tu as vieilli
Opérée trois fois pour ta survie
Résistante et toujours ,dans les yeux, amoureuse de la vie
Puis de l’arthrose tu as pris.
Pour l’aller, contente de se balader
Pour le retour, pressée de rentrer
Tu commençais à fatiguer.
De la chaleur tu souffrais
Alors ton souffle dans la nuit s’accélérait
Ta petite tête je mouillais
Ta respiration alors s’apaisait.
Du tonnerre tu avais peur
Et je crois bien que de cela tu en es morte
Je n’étais pas là cette nuit-là
Sinon je crois que tu serais encore là.
Je pressentais que c’était ta dernière année
Que très longtemps je n’allais pouvoir te garder
Mais quelques mois tu serais encore restée
Si mon pressentiment j’avais écouté
J’avais vu à la météo chaleur et orage, un pressentiment s’était présenté.
Dans cette pension, avec ton copain Chouki, je t’ai laissé,
Comme toutes les années,
Pour qu’en vacances nous puissions aller
Contente de te balader, dans la voiture tu as grimpé.
J’avais bien pensé cette fois t’emmener
Mais l’appartement n’était pas climatisé.
Toute seule, dans la nuit tu es décédée
Je n’étais pas là pour te réconforter.
Si tu savais combien est grande ma culpabilité
Ce n’est pas comme cela que j’envisageais de te quitter
Moi je voulais dans un dernier adieu t’accompagner.
Cette nuit là, ma belle-mère n’a rien dormi
Le tonnerre était paraît-il atroce cette nuit
A 3 heures du matin, elle a eu un flash, nous a vu toi et nous.
Moi je suis allée fermer la fenêtre cette nuit
Un coup de tonnerre j’ai entendu
Je me dis que c’était peut-être à ce moment là
Que ton dernier souffle a été entendu.
C’était dans la nuit du 14 au 15 juillet
Pour mon anniversaire tu m’as laissée
Mes pleurs ne font que couler
De ton absence, mon cœur ne fait que saigner
Un grand vide tu as laissé.
Excuse-moi mon Ozane de t’avoir laissée
Je t’ai vue, tu étais toujours belle
Ce soir tu seras parmi nous
Ton maître va te ramener poussière
Au pied du figuier tu reposeras
Je suis si triste
Mais pendant 9 années heureuse tu as été.
Ma Liloucette, le loup de sa mère que j’aime tant, Liloute, Zazou, notre Zaz
Celle qui fait que désormais tous les bergers allemands s'appellent des Zaz désormais
Une dernière fois je te le dis
«Qu’est-ce qu’on s’aime toutes les deux hein ?
On s’aime d’amour toutes les deux »
Mon Ozane …..
Plus jamais je ne t’appellerais
Par tous ces mille et un surnoms que je te donnais
Tu m’avais choisie ce jour où j’étais venue
J’allais repartir quand je t’ai vue
Je cherchais un croisé griffon mais toi, tu m’as retenue
Quand je suis rentrée dans ton box, tu m’as sauté dessus
Tu as posé tes pattes sur moi ça y est c’était foutu.
Quand je suis ressortie tu t’es mise à pleurer
De pleurer tu ne t’es plus arrêtée
Au loin nous t’entendions, le sort en était jeté.
A la SPA nous sommes quand même allés
Devant le box de Papaye nous nous sommes arrêtés
Une grosse mère griffon, voilà mon souhait réalisé
A l’accueil nous nous sommes renseignés
Pour avoir mordu un enfant elle avait été abandonnée
Comment croire cela quand si jeune il s’agissait encore d’un bébé.
Pourtant nous sommes repartis, tes pleurs ne cessaient de me hanter.
Au refuge nous sommes donc retournés
Avec ton maître, qui te trouvait trop grande, il a fallu négocier
Puis, grande gigue et maigre, nous t’avons adoptée.
A la maison tu es arrivée
Tu as sauté sur Chouki, pourtant arrivé premier
Avec ta patte, plus d’une fois, son dos tu as failli cassé
Seulement par jeu et par brutalité et non par méchanceté
Mais nous t’avons gardé et tu t’es bien remplumée.
De ton maître tu avais peur quand il t’appelait
De grands cercles autour de lui tu faisais.
Battue tu avais dû l’être je m’en doutais.
Un jour, sur sa jambe, ta tête tu as posé
Ta confiance tu lui avais donnée
Un an il m’a fallu pour m’habituer à toi, m’attacher.
Puis je n’ai plus cessé de t’aimer.
Dans tes pattes tu nous serrais
De bonheur, dans l’herbe tu te roulais
Des massages ton maître te faisait
Alors tes fesses tu présentais
Les câlins tu adorais.
Je posais ma tête tout contre toi
Des bruits de bien-être tu me faisais rien que pour moi
Nous nous regardions dans les yeux toi et moi
Et point de doute, d’amour nous aimions toi et moi.
Mais voilà tu as vieilli
Opérée trois fois pour ta survie
Résistante et toujours amoureuse de la vie
Puis de l’arthrose tu as pris.
Pour l’aller contente de se balader
Pour le retour pressée de rentrer
Tu commençais à fatiguer.
De la chaleur tu souffrais
Alors ton souffle dans la nuit s’accélérait
Ta petite tête je mouillais
Ta respiration alors s’apaisait.
Du tonnerre tu avais peur
Et je crois bien que de cela tu en es morte
Je n’étais pas là cette nuit-là
Sinon je crois que tu serais encore là.
Je pressentais que c’était ta dernière année
Que très longtemps je n’allais pouvoir te garder
Mais quelques mois tu serais encore restée
Si mon pressentiment j’avais écouté
J’avais vu à la météo chaleur et orage, un pressentiment s’était présenté.
Dans cette pension, avec ton copain Chouki, je t’ai laissé,
Comme toutes les années,
Pour qu’en vacances nous puissions aller
Contente de te balader, dans la voiture tu as grimpé.
J’avais bien pensé cette fois t’emmener
Mais l’appartement n’était pas climatisé.
Toute seule, dans la nuit tu es décédée
Je n’étais pas là pour te réconforter.
Si tu savais combien est grande ma culpabilité
Ce n’est pas comme cela que j’envisageais de te quitter
Moi je voulais dans un dernier adieu t’accompagner.
Cette nuit là, ma belle-mère n’a rien dormi
Le tonnerre était paraît-il atroce cette nuit
A 3 heures du matin, elle a eu un flash, nous a vu toi et nous.
Moi je suis allée fermer la fenêtre cette nuit
Un coup de tonnerre j’ai entendu
Je me dis que c’était peut-être à ce moment là
Que ton dernier souffle a été entendu.
C’était dans la nuit du 14 au 15 juillet
Pour mon anniversaire tu m’as laissée
Mes pleurs ne font que couler
De ton absence, mon cœur ne fait que saigner.
Excuse-moi mon Ozane de t’avoir laissée
Je t’ai vue tu étais toujours belle
Ce soir tu seras parmi nous
Ton maître va te ramener poussière
Au pied du figuier tu reposeras
Je suis si triste
Mais pendant 9 années heureuse tu as été.
Ma Liloucette, le loup de sa mère que j’aime tant, Lilou,
Une dernière fois je te le dis
«Qu’est-ce qu’on s’aime toutes les deux
On s’aime d’amour toutes les deux »
Mon Ozane …..
Plus jamais je ne t’appellerais
Par tous ces mille et un surnoms que je te donnais
Tu m’avais choisie ce jour où j’étais venue
J’allais repartir quand je t’ai vue
Je cherchais un croisé griffon mais toi, tu m’as retenue
Quand je suis rentrée dans ton box, tu m’as sauté dessus
Tu as posé tes pattes sur moi ça y est c’était foutu.
Quand je suis ressortie tu t’es mise à pleurer
De pleurer tu ne t’es plus arrêtée
Au loin nous t’entendions, le sort en était jeté.
A la SPA nous sommes quand même allés
Devant le box de Papaye nous nous sommes arrêtés
Une grosse mère griffon, voilà mon souhait réalisé
A l’accueil nous nous sommes renseignés
Pour avoir mordu un enfant elle avait été abandonnée
Comment croire cela quand si jeune il s’agissait encore d’un bébé.
Pourtant nous sommes repartis, tes pleurs ne cessaient de me hanter.
Au refuge nous sommes donc retournés
Avec ton maître, qui te trouvait trop grande, il a fallu négocier
Puis, grande gigue et maigre, nous t’avons adoptée.
A la maison tu es arrivée
Tu as sauté sur Chouki, pourtant arrivé premier
Avec ta patte, plus d’une fois, son dos tu as failli cassé
Seulement par jeu et par brutalité et non par méchanceté
Mais nous t’avons gardé et tu t’es bien remplumée.
De ton maître tu avais peur quand il t’appelait
De grands cercles autour de lui tu faisais.
Battue tu avais dû l’être je m’en doutais.
Un jour, sur sa jambe, ta tête tu as posé
Ta confiance tu lui avais donnée
Un an il m’a fallu pour m’habituer à toi, m’attacher.
Puis je n’ai plus cessé de t’aimer.
Dans tes pattes tu nous serrais
De bonheur, dans l’herbe tu te roulais
Des massages ton maître te faisait
Alors tes fesses tu présentais
Les câlins tu adorais.
Je posais ma tête tout contre toi
Des bruits de bien-être tu me faisais rien que pour moi
Nous nous regardions dans les yeux toi et moi
Et point de doute, d’amour nous aimions toi et moi.
Mais voilà tu as vieilli
Opérée trois fois pour ta survie
Résistante et toujours amoureuse de la vie
Puis de l’arthrose tu as pris.
Pour l’aller contente de se balader
Pour le retour pressée de rentrer
Tu commençais à fatiguer.
De la chaleur tu souffrais
Alors ton souffle dans la nuit s’accélérait
Ta petite tête je mouillais
Ta respiration alors s’apaisait.
Du tonnerre tu avais peur
Et je crois bien que de cela tu en es morte
Je n’étais pas là cette nuit-là
Sinon je crois que tu serais encore là.
Je pressentais que c’était ta dernière année
Que très longtemps je n’allais pouvoir te garder
Mais quelques mois tu serais encore restée
Si mon pressentiment j’avais écouté
J’avais vu à la météo chaleur et orage, un pressentiment s’était présenté.
Dans cette pension, avec ton copain Chouki, je t’ai laissé,
Comme toutes les années,
Pour qu’en vacances nous puissions aller
Contente de te balader, dans la voiture tu as grimpé.
J’avais bien pensé cette fois t’emmener
Mais l’appartement n’était pas climatisé.
Toute seule, dans la nuit tu es décédée
Je n’étais pas là pour te réconforter.
Si tu savais combien est grande ma culpabilité
Ce n’est pas comme cela que j’envisageais de te quitter
Moi je voulais dans un dernier adieu t’accompagner.
Cette nuit là, ma belle-mère n’a rien dormi
Le tonnerre était paraît-il atroce cette nuit
A 3 heures du matin, elle a eu un flash, nous a vu toi et nous.
Moi je suis allée fermer la fenêtre cette nuit
Un coup de tonnerre j’ai entendu
Je me dis que c’était peut-être à ce moment là
Que ton dernier souffle a été entendu.
C’était dans la nuit du 14 au 15 juillet
Pour mon anniversaire tu m’as laissée
Mes pleurs ne font que couler
De ton absence, mon cœur ne fait que saigner.
Excuse-moi mon Ozane de t’avoir laissée
Je t’ai vue tu étais toujours belle
Ce soir tu seras parmi nous
Ton maître va te ramener poussière
Au pied du figuier tu reposeras
Je suis si triste
Mais pendant 9 années heureuse tu as été.
Ma Liloucette, le loup de sa mère que j’aime tant, Lilou,
Une dernière fois je te le dis
«Qu’est-ce qu’on s’aime toutes les deux
On s’aime d’amour toutes les deux »
Liloucette- Membre de Platine
- Nombre de messages : 3807
Age : 50
Localisation : Isère
Département : Isère
Date d'inscription : 19/06/2009
Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
magnifique hommage...
Invité- Invité
Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
je n'avais pas encore pris le temps de tout lire c'est magnifique,elle a été heureuse chez ,c'est sûr
Invité- Invité
Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
Mon Ozane, 1 mois la nuit dernière que tu nous a laissés. Tu me manques, je me surprends à appeler Gala, Liloucette, l'habitude sans doute, mais ce surnom t'était réservé à toi seule. J'écris ces quelques mots et mes larmes coulent. Je revois ta belle tête et ta queue qui remue de contentement quand le matin je te faisais un bisous, en t'empoignant le cou, pour te dire bonjour en t'appelant par un de tes nombreux surnoms.Tu les reconnaissais tous, tes surnoms. Ma Liloucette, je sais qu'heureuse avec nous tu l'as été, que d'amour tu n'as pas manqué mais ma seule incertitude c'est de ne pas savoir si ton petit coeur s'est arrêté tranquillement dans ton sommeil ou si tu as eu le temps d'avoir peur du tonnerre, et ça, j'avoue que j'ai du mal à me pardonner de n'avoir pas été là, de ne pas avoir écouté ce pressentiment que j'ai eu. Mon Ozane, ton absence me laisse un vide immense.
Liloucette- Membre de Platine
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
Très joli hommage.... :'(
On ne les oublie jamais.
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Nala- Membre d'Argent
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
Mon Ozane... un an la nuit dernière que tu as rendu ton dernier souffle. Quel mauvais anniversaire j'avais eu. Tu me manques toujours. Hier soir je suis passée devant le figuier. Il a beaucoup grandi par rapport à l'année dernière où nous l'avons planté, je me dis que toi, qui reposes désormais à son pied, tu dois peut-être l'aider un peu. Je me revois le soir où nous avons enfoui tes cendres. Ce souvenir m'est pénible, ta disparition m'est douloureuse. Tu as laissé ta place à Gala. Je suis sûre qu'exclusive comme tu l'étais tu ne l'aurais pas fait de bon coeur . Je l'embrasse le soir comme je le faisais pour toi. Elle nous attrappe avec sa patte quand on lui fait un câlin, comme toi. Elle présente ses fesses pour se faire caresser et masser comme tu le faisais toi. Les ressemblances s'arrêtent là. Elle est très différente ma Gala. Elle est aussi silencieuse que toi tu étais braillarde quand quelqu'un passait devant le portail . Elle n'a pas ton allure majestueuse mais elle est jolie, la louvée. En partant, tu as fait une malheureuse, moi, mais aussi une heureuse, Gala. Voir ma Gala heureuse, me rend aussi heureuse que de t'avoir rendu heureuse, toi. Je sais que tu as été heureuse mon Ozane, c'est tout ce qui compte. Tu nous aimais, ça je le sais aussi. Ma Zazou, ma Liloucette, ma Liloute "on s'aimait d'amour toutes les 2".
Liloucette- Membre de Platine
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
très bel hommage que je n'avais pas encore vu et grâce à cette anniversaire j'en prends connaissance. Gros bisous à la petite remplaçante qui sait si bien de faire penser à son illustre grande soeur
marie34- Membre de Platine
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
Ce sera fait Marie. Un bisous comme tous les soirs avant de me couchermarie34 a écrit: Gros bisous à la petite remplaçante qui sait si bien de faire penser à son illustre grande soeur
Liloucette- Membre de Platine
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
MAis non deux le tien et le mien
Moi aussi je leur fait un petit bisou chaque fois que je part de la maison et quand je rentre et le soir
Moi aussi je leur fait un petit bisou chaque fois que je part de la maison et quand je rentre et le soir
marie34- Membre de Platine
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
Mais oui bien sûr, 2 bisous, je voulais dire un bisous en + du mien que je lui fais comme tous les soirs
J'ai vu sur un autre post que DJ et Catch ne s'étaient pas faits priés pour venir se coller à toi sur la couette. Les coquins, inespéré ce câlin à la belle étoile
J'ai vu sur un autre post que DJ et Catch ne s'étaient pas faits priés pour venir se coller à toi sur la couette. Les coquins, inespéré ce câlin à la belle étoile
Liloucette- Membre de Platine
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
oui ils ne se sont pas fait prier les filous. C'est vraiment super de dormir à la belle étoile au milieu de sa meute. J'adore ça. J'ai une super pêche le matin
marie34- Membre de Platine
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
Très bel hommage, qui illustre ton amour pour Ozane, et maintenant, pour Gala. C'est toujours difficile de les perdre et cela doit l'être encore plus quand on n'est pas à leurs côtés pour leur les accompagner dans leurs derniers moments et leur dire adieu. Je suis certaine qu'Ozane a été très heureuse chez toi, et il te reste beaucoup de très beaux souvenirs des années passées avec elle. Courage! C'est vrai qu'ils n'arrêtent jamais de nous manquer, même des années après leur départ...
montemoro- Membre de Diamant
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
C'est vrai ....ils ne nous font souffrir que quand ils nous quittent !!
Bel hommage . Elle aura été heureuse , c'est certain.
Bel hommage . Elle aura été heureuse , c'est certain.
Daiko- Membre d'Or
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Liloucette- Membre de Platine
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
très belle hommage d'Ozane que je suis en larmes
Karine
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Skipper- Membre de Platine
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
Et oui Joëlle, un an déjà que j'ai écrit cet hommâge, un an que mon Ozane n'est plus là
Liloucette- Membre de Platine
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
C'est très dur de perdre son compagnon 4 quatre pattes lorsque la relation est fusionnelle.
Skipper- Membre de Platine
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
En lisant ce bel hommage que tu rends à ta chère Ozane, je ne peux empêcher les larmes de couler. Chez vous elle a connu des moments de bonheur. Les années passent et ils nous manquent comme si c'était hier. Maintenant tu as Gala et je suis certaine que tu la rends aussi heureuse, même si elle est différente. et ce ne sera jamais pareil.
Ozane de là où tu es veille sur ta famille de la terre.
Ozane de là où tu es veille sur ta famille de la terre.
Invité- Invité
Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
2 ans qu'Ozane a quitté LA vie et MA vie. Elle m'a marqué mon Ozane et a laissé une empreinte, depuis les bergers sont mes chiens de prédilection.
J'ai eu une grosse pensée pour toi Jeudi mon Ozane, en plus dans la voiture, sur le chemin de l'Ardèche, une chanson qui était la tienne pour moi.
J'ai eu une grosse pensée pour toi Jeudi mon Ozane, en plus dans la voiture, sur le chemin de l'Ardèche, une chanson qui était la tienne pour moi.
Liloucette- Membre de Platine
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
Je souhaite que ta BELLA adoucira ta peine.
Skipper- Membre de Platine
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manon- Suivi des types et croisés males à l'adoption
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
Très bel hommage,ta louve sera toujours dans ton coeur&continue à te protéger de là où elle est.
Savana- Membre d'Or
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
je peux pas lire sans pleurer a chaque fois que je suis sur cette rubrique des disparus ozane et tous les autres nous ne les oublierons jamais car ils nous ont tellement tellement donnes
plus je vis avec les humains plus j aime les animaux
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FRANCOIS- Membre d'Argent
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Re: POEME POUR OZANE (excusez-moi pour la longueur mais je tiens à lui rendre cet hommage)
Le temps passe et jamais nous ne les oublions...
Une pensée pou Ozane
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