L'INDUSTRIE DU FOIE GRAS ou LA SOUFFRANCE PAR GAVAGE... 1 seule solution
5 participants
Page 1 sur 1
L'INDUSTRIE DU FOIE GRAS ou LA SOUFFRANCE PAR GAVAGE... 1 seule solution
ARRETER D'EN CONSOMMER, ARRETER DE CAUTIONNER ...
Les fêtes de Noël approchent traduisant une consommation de foie gras importante.
Mais savez vous réellement ce qui se cache derrière la production de foie gras ?
Savez vous les souffrances infligées aux animaux pour produire ce produit tant convoité par certains ?
Très peu de personnes savent répondre à ces questions et continuent donc à consommer un produit basé sur la souffrance de millions d'animaux. Certains ne désirant pas s'intéresser aux méthodes de production du produit qu'ils aiment tant, d'autres préférant occulter ce qu'ils ont appris pour le plaisir de leur papille gustative.
L'objectif de la campagne initiée par Protection-des-animaux.org, est de vous informer sur les réelles conditions d'élevage et de production du foie gras, pour informer chaque consommateur de la face cachée du produit qu'il consomme.
Il en sera par la suite de votre responsabilité d'arrêter d'en consommer ou de continuer en votre âme et conscience à cautionner un produit basé sur la souffrance de millions d'animaux.
Produit qui plus est illégal !
La confection du foie gras :
La confection du foie gras se fait au sein d’usines de production où des milliers d’animaux sont gavés industriellement par des machines provoquant d’atroces souffrances. Les palmipèdes sont engraissés à l’aide de systèmes électro-pneumatiques avec environ 800 g par jour de maïs dont la moitié leur est injecté en 3 à 5 secondes (soit l’équivalent de 8 kilos de pâtes ingérées en 3 à 5 secondes pour l’homme).Le gavage se fera pendant 2 à 3 semaines durant lesquelles les oies ou les canards seront enfermés dans des cages exigües limitant tous les mouvements de l'animal pour un engraissement plus rapide.
Le foie gras est illégal selon la réglementation française et européenne, nous demandons donc le respect par la France de ces législations. En effet, ces dernières indiquent : « Les animaux reçoivent une alimentation saine, adaptée à leur âge et à leur espèce » 1, « Aucun animal n'est alimenté ou abreuvé de telle sorte qu'il en résulte des souffrances ou des dommages inutiles » 2, et « Les méthodes d'alimentation et les additifs alimentaires qui sont source de lésions, d'angoisse ou de maladie pour les canards ou qui peuvent aboutir au développement de conditions physiques ou physiologiques portant atteinte à leur santé et au bien-être ne doivent pas être autorisés » 3.
En 1998, le Comité scientifique pour la santé et le bien-être des animaux de la Commission européenne a conclu dans un rapport que le gavage est néfaste pour le bien être des animaux.
Rappelons que le foie gras est internationalement contesté et interdit dans de nombreux pays : Allemagne, Autriche, Pays-Bas, Danemark, Finlande, Luxembourg, Suisse, Norvège, République tchèque, Suède, Argentine, Etats-Unis (états de Chicago et de Californie).
Rendus volontairement malades
Développer un foie "gras" par gavage est en soi une maladie. Elle est appelée techniquement stéatose hépatique nutritionnelle, processus pathologique donnant une hépatomégalie (c'est-à-dire un foie énorme) et se transformant en hépatonécrose, mortelle. Les animaux doivent donc être tués avant d'atteindre le stade où la maladie les emporte, stade où le foie peut aussi devenir "friable". Perdant ainsi ses qualités et n'étant alors plus commercialisable, il détermine les dates d'abattage où l'éleveur a le plus de chance d'obtenir une taille optimale avant la mort de l'animal.
Autres affections
Cette maladie est entourée d'un cortège d'autres, auxquelles il faudrait encore ajouter les maladies aviaires habituelles se développant fréquemment dans les élevages. Les affections hépatiques proprement dites, en plus de l'hépatomégalie, comprennent : les périhépatites (lésions liées à des phénomènes inflammatoires) ; les nécroses (d'origines diverses : infectieuse, toxique et circulatoire) ; des troubles circulatoires associés à une forte hypertension (insuffisance cardiaque ou rénale) ; l'encéphalohépatie (mouvements de cerclage, crises épileptiformes, augmentation de la pression intracrânienne débouchant sur migraines, stupeur, coma et mort) ; l'insuffisance hépatique (troubles fonctionnels divers, associés ou non : anémie, métaboliques, de la circulation, sécrétoires donnant des gastro-entérites, des ictères?). Il s'agit de lésions de stéatonécrose arrivant en fin d'évolution, généralement irréversibles et condamnant l'animal.« Tout ceci prouve qu'il ne s'agit pas là d'un processus normal mais d'un processus pathologique » souligne le docteur vétérinaire Yvan Beck.
Lésions diverses
En plus des atteintes faites au foie lui-même, il y en a beaucoup d'autres, souvent mortelles : lésions provoquées par la pratique du gavage : mal de cou (vers le haut, par introduction trop brutale de l'embuc), mal de jabot (plus bas, perforation de l'?sophage lors du passage de l'embuc, brûlures à cause du maïs trop chaud), asphyxie quand le maïs passe accidentellement dans la trachée, nécroses de fin de gavage, accès de convulsion et mort rapide à la suite de crises d'hypoglycémie (souvent à la suite d'interruption d'alimentation en cours de gavage, le dimanche par exemple !), morts subites par hémorragie hépatique sous l'effet de stress ou de bousculades. Il existe aussi des accidents dus aux mauvaises conditions de détention : blessures aux pattes sur caillebotis.
Infections secondaires
Il existe aussi d'autres maladies induites directement par le gavage, car les modifications du mode et du type d'alimentation constituent un stress énorme pour l'organisme. Les infections secondaires, appelées "germes de sortie", sont donc le tribut à payer pour pousser la productivité : les parasites (verminoses intestinales) ; les champignons ; les infections bactériennes (entérites, maladies respiratoires, choléra). Ces maladies sont traitées par divers médicaments qui, donnés peu de temps avant l'abattage, laissent des résidus chimiques.
Au terme du gavage, les animaux ont presque doublé de poids, leurs muqueuses et leur peau ont pâli, leur plumage est collé par un enduit gras, leur démarche est difficile, leur abdomen est très lourd et leur respiration haletante car les sacs aériens sont compressés, les oiseaux n'ayant pas de diaphragme. Si le gavage continue, les animaux se couchent à bout de force, asphyxiés, pour mourir." thèse du docteur vétérinaire Castets.
Stress à répétition
Les animaux ne sont pas seulement malades. Ils souffrent aussi de troubles du comportement. Des éthologistes (spécialistes du comportement), tel le professeur René Dayan (faculté d'agronomie, Université Catholique de Louvain) ont prouvé qu'il cause de la souffrance, c'est-à-dire "une réduction critique d'un état subjectif de l'animal qu'on appelle son degré de bien-être". Comme celui-ci résulte de la satisfaction d'un certain nombre de besoins de base, leur absence partielle ou totale amène cette souffrance qui découle, en plus, de stimuli causant la douleur et le stress.
Privations
Pour les palmipèdes gavés, les insatisfactions ne manquent pas, et les stimuli négatifs abondent : la souffrance est indéniable. La première des privations est celle des besoins comportementaux : les activités naturelles ne sont pas possibles pendant la phase de gavage, les conditions d'hébergement étant incompatibles avec le bien-être des palmipèdes pour les raisons suivantes : le confinement dans des cages de batterie qui peuvent être encore inférieures à celles des poules : 25 cm par 15. Dans ces 375 cm2 il est impossible à l'animal de bouger, sans parler d'étendre une aile. Un canard n'y est pas seulement gêné mais aussi blessé, notamment au cou quand il dépasse de la cage. Et quand ils deviennent plus gros, certains ne peuvent même plus passer la tête au travers, ce qui les oblige à vivre constamment courbés.
Surpopulation
La surpopulation, quand ils sont dans des "parcs collectifs" de gavage, c'est-à-dire 15 à 18 sur 3 m2, occasionne du stress, de l'agressivité et des coups de becs. Comme pour les poulets, les canards sont débéqués à l'âge de 2 semaines. Pour des facilités de manipulation, on leur arrache également les griffes des pattes qui ne repousseront plus. Le bec d'un canard est son principal organe sensoriel, il s'en sert normalement pour percevoir les aliments sous l'eau. Le débécage restera extrêmement douloureux toute sa courte vie. Ces pratiques de mutilations existent dans tous les élevages, même les élevages dits traditionnels.
Manque d'eau
D'autres privations leur sont imposées. Ainsi, l'absence d'eau, car même en prairie avant gavage, il est impossible de nager et de nettoyer correctement son plumage (il reste desséché car le graissage naturel des plumes ne peut se faire). Le fait de devoir manger et boire passivement leur est pénible, car le nourrissage de force ne prend que peu de temps, alors que dans la nature ou en basse-cour, ils passent plus du tiers de leurs journées à la recherche de nourriture.
Nourriture
Puis vient la privation des besoins physiologiques, car la nourriture (poudre de maïs cuit et salé mélangée à de l'eau) qu'on leur fait ingurgiter n'est pas une alimentation équilibrée. Les palmipèdes ne la mangeraient pas d'eux mêmes, en tous cas pas dans de telles quantités. Car il n'y a pas d'autogavage, sauf chez des individus dont on a détruit une partie du cerveau. Le choix, spontané ou appris, des aliments adéquats pour la santé, ne peut plus s'effectuer.
Absence de contacts
La privation des besoins sociaux est particulièrement grave, car il s'agit d'espèces grégaires cherchant à former des groupes stables où existe la coopération. Le gavage leur fait vivre une existence où la recherche de contacts est totalement faussée. Il n'y a aucune possibilité de contacts avec les congénères visibles au travers des barreaux, ce qui entraîne une frustration des relations affiliatives et de leurs manifestations, toilettage mutuel notamment.
Conflit émotionnel
Les élevages n'étant composés que de mâles, il y a privation de relations avec les femelles, relations d'autant plus importantes qu'elles s'opèrent chez des espèces à formation de couple stable, fidèle : cela cause un stress social manifeste. Il y a une grave atteinte au comportement due au processus d'imprégnation filiale : dans les premières heures de leur vie, les oisons et canetons s'attachent aux premiers individus qu'ils voient, à savoir des humains : il y a dépendance affective à ces "faux parents" vers lesquels ils se précipitent volontiers. Mais cette tendance est progressivement contrariée par les douleurs croissantes dues au gavage, occasionnant des réponses de fuite très parlantes. Le conflit émotionnel est intense : on veut aller vers les humains et fuir les gaveurs. Cela devient une réelle anxiété.
Douleur
Et il y a la douleur elle-même, celle liée aux maladies et les souffrances qui viennent des récepteurs sensoriels de la bouche et du gosier, blessés par les passages répétés de l'embuc ou de l'aliment brûlant, mais aussi de l'élargissement de la rate et du foie, pressant sur d'autres organes comme les poumons.
Comportements anormaux
Enfin, le stress car : "Des perturbations de l'environnement répétées imposent à l'animal des mécanismes d'adaptation excessifs qui finissent par être dommageables pour sa santé", comme le souligne le Professeur René Dayan. Il y a stress ponctuel avec augmentation du rythme cardiaque et velléités de fuite, impossibles en cage, pour toutes les manipulations humaines et surtout au moment où le gaveur prend l'animal par le cou ou la tête pour le forcer à ouvrir le bec. Celui-ci s'agite fortement et manifeste, après le gavage, des comportements anormaux, essayant par exemple de tourner en remuant la tête. Le stress apparaît dès le premier jour de la vie, lors du transport depuis l'élevage du "naisseur", en train ou camion, sans eau ni nourriture. "Le stress répété que subissent les canards explique une large proportion des 4 à 10 % des cas de mortalité qui sont constatés jusqu'à l'abattage" commente René Dayan.
Un foie sur deux d'origine étrangère
Selon le ministère de l'Agriculture, la production a plus que doublé depuis 1993 et a été multipliée par huit en 20 ans. En 2002, le canard représente 96,5 % du total produit alors qu'en 1980 les proportions étaient d'un tiers d'oie pour deux tiers de canard. Au cours des années 1990, la production de canards gras s'est développée plus vite dans l'Ouest de la France (notamment en Vendée) que dans le Sud-Ouest. La part du Grand-Ouest, insignifiante en 1990, représente maintenant 22 % du total produit. Toutefois, en 2002, la production semble avoir augmenté plus fortement dans le Sud-Ouest que dans l'Ouest.
La hausse de la production en 2002 s'est accompagnée d'une baisse des cours. Le prix moyen des différentes catégories de foies gras de canard « sortie salle de découpe » s'élève à 19,32 euros/kg en 2002, en repli de 12 % sur 2001.
Les importations de foies gras crus de l'année 2002 atteignent 1200 tonnes, moitié canard, moitié oie, en baisse de 19 % par rapport à 2001. La baisse est beaucoup plus marquée pour le canard (? 30 %) que pour l'oie (? 4 %). Les importations de foies gras d'oies restent importantes par rapport à la production : plus de la moitié des foies gras d'oies consommés en France est d'origine étrangère, essentiellement hongroise. Pour le canard, les deux principaux fournisseurs sont la Hongrie (50 % du total importé) et la Bulgarie (45 %).
EN RESUME :
Un rapport accusateur
Le rapport par lequel le scandale est arrivé. Le 16 décembre 1998, le Comité scientifique pour la santé et le bien-être des animaux de la Commission européenne publie une enquête sur la production de foie gras. 93 pages qui concluent que le gavage est néfaste au bien être des animaux. C'est grâce à ce texte que la Commission européenne a pris des dispositions encadrant mieux cette pratique.
Maladie
Il est mentionné que le grossissement du foie est bien une affection pathologique (une maladie induite mais une maladie quand même), ce qui est confirmé par le fait que les palmipèdes mourraient si le gavage se poursuivait, ne serait-ce que quelques jours de plus. Il note que le nourrissage par gavage fait souffrir les oies et canards puisqu'ils éprouvent de l'anxiété, du stress et de la douleur.
Décès en grand nombre
Il indique que les animaux subissent des fractures (de 30 à 70%) et que les cages individuelles sont à bannir à cause du grand inconfort qu'elles engendrent. Il souligne, en outre, que le taux de mortalité est très élevé : les décès avant l'abattage peuvent aller jusqu'à 15%, mais la moyenne les fait tourner entre 2 et 4%, ce qui est déjà 10 à 20 fois supérieur à la "norme" d'environ 0,2% pour des palmipèdes équivalents mais non gavés.
Critique
Ce texte, très critique, a été élaboré par des scientifiques, dont plusieurs Français. Il a immédiatement suscité l'inquiétude des producteurs. Ainsi, en page 52, il est écrit "Comme les Français, en nombre croissant, deviennent concernés par le bien-être animal, il semble probable que les ventes de foie gras seront affectées. [?] Si aucune action reconnue du public n'est prise en vue d'améliorer le bien-être des animaux, un déclin lent ou rapide des ventes de foie gras est possible." Le rapport ne demande pas l'interdiction pure et simple du gavage, craignant que cela ne conduise à l'émergence d'un marché noir. En revanche, il réclame, au minimum, que le gavage industriel avec des machines soit prohibé.
Source : One Voice
Pour plus d'infos et de photos :
http://aequoanimo.com/Foie%20gras.html
http://terresacree.org/foiegras.htm
MANGER DU FOIE GRAS EST SYNONYME D'INDIFFÉRENCE ENVERS LES SOUFFRANCES D'UN ANIMAL TORTURÉ. IL N'Y A PAS DE GAVAGE SANS ANGOISSE ET DOULEUR POUR LES OISEAUX. LE FOIE GRAS EST UN FOIE MALADE...
Les fêtes de Noël approchent traduisant une consommation de foie gras importante.
Mais savez vous réellement ce qui se cache derrière la production de foie gras ?
Savez vous les souffrances infligées aux animaux pour produire ce produit tant convoité par certains ?
Très peu de personnes savent répondre à ces questions et continuent donc à consommer un produit basé sur la souffrance de millions d'animaux. Certains ne désirant pas s'intéresser aux méthodes de production du produit qu'ils aiment tant, d'autres préférant occulter ce qu'ils ont appris pour le plaisir de leur papille gustative.
L'objectif de la campagne initiée par Protection-des-animaux.org, est de vous informer sur les réelles conditions d'élevage et de production du foie gras, pour informer chaque consommateur de la face cachée du produit qu'il consomme.
Il en sera par la suite de votre responsabilité d'arrêter d'en consommer ou de continuer en votre âme et conscience à cautionner un produit basé sur la souffrance de millions d'animaux.
Produit qui plus est illégal !
La confection du foie gras :
La confection du foie gras se fait au sein d’usines de production où des milliers d’animaux sont gavés industriellement par des machines provoquant d’atroces souffrances. Les palmipèdes sont engraissés à l’aide de systèmes électro-pneumatiques avec environ 800 g par jour de maïs dont la moitié leur est injecté en 3 à 5 secondes (soit l’équivalent de 8 kilos de pâtes ingérées en 3 à 5 secondes pour l’homme).Le gavage se fera pendant 2 à 3 semaines durant lesquelles les oies ou les canards seront enfermés dans des cages exigües limitant tous les mouvements de l'animal pour un engraissement plus rapide.
Le foie gras est illégal selon la réglementation française et européenne, nous demandons donc le respect par la France de ces législations. En effet, ces dernières indiquent : « Les animaux reçoivent une alimentation saine, adaptée à leur âge et à leur espèce » 1, « Aucun animal n'est alimenté ou abreuvé de telle sorte qu'il en résulte des souffrances ou des dommages inutiles » 2, et « Les méthodes d'alimentation et les additifs alimentaires qui sont source de lésions, d'angoisse ou de maladie pour les canards ou qui peuvent aboutir au développement de conditions physiques ou physiologiques portant atteinte à leur santé et au bien-être ne doivent pas être autorisés » 3.
En 1998, le Comité scientifique pour la santé et le bien-être des animaux de la Commission européenne a conclu dans un rapport que le gavage est néfaste pour le bien être des animaux.
Rappelons que le foie gras est internationalement contesté et interdit dans de nombreux pays : Allemagne, Autriche, Pays-Bas, Danemark, Finlande, Luxembourg, Suisse, Norvège, République tchèque, Suède, Argentine, Etats-Unis (états de Chicago et de Californie).
Rendus volontairement malades
Développer un foie "gras" par gavage est en soi une maladie. Elle est appelée techniquement stéatose hépatique nutritionnelle, processus pathologique donnant une hépatomégalie (c'est-à-dire un foie énorme) et se transformant en hépatonécrose, mortelle. Les animaux doivent donc être tués avant d'atteindre le stade où la maladie les emporte, stade où le foie peut aussi devenir "friable". Perdant ainsi ses qualités et n'étant alors plus commercialisable, il détermine les dates d'abattage où l'éleveur a le plus de chance d'obtenir une taille optimale avant la mort de l'animal.
Autres affections
Cette maladie est entourée d'un cortège d'autres, auxquelles il faudrait encore ajouter les maladies aviaires habituelles se développant fréquemment dans les élevages. Les affections hépatiques proprement dites, en plus de l'hépatomégalie, comprennent : les périhépatites (lésions liées à des phénomènes inflammatoires) ; les nécroses (d'origines diverses : infectieuse, toxique et circulatoire) ; des troubles circulatoires associés à une forte hypertension (insuffisance cardiaque ou rénale) ; l'encéphalohépatie (mouvements de cerclage, crises épileptiformes, augmentation de la pression intracrânienne débouchant sur migraines, stupeur, coma et mort) ; l'insuffisance hépatique (troubles fonctionnels divers, associés ou non : anémie, métaboliques, de la circulation, sécrétoires donnant des gastro-entérites, des ictères?). Il s'agit de lésions de stéatonécrose arrivant en fin d'évolution, généralement irréversibles et condamnant l'animal.« Tout ceci prouve qu'il ne s'agit pas là d'un processus normal mais d'un processus pathologique » souligne le docteur vétérinaire Yvan Beck.
Lésions diverses
En plus des atteintes faites au foie lui-même, il y en a beaucoup d'autres, souvent mortelles : lésions provoquées par la pratique du gavage : mal de cou (vers le haut, par introduction trop brutale de l'embuc), mal de jabot (plus bas, perforation de l'?sophage lors du passage de l'embuc, brûlures à cause du maïs trop chaud), asphyxie quand le maïs passe accidentellement dans la trachée, nécroses de fin de gavage, accès de convulsion et mort rapide à la suite de crises d'hypoglycémie (souvent à la suite d'interruption d'alimentation en cours de gavage, le dimanche par exemple !), morts subites par hémorragie hépatique sous l'effet de stress ou de bousculades. Il existe aussi des accidents dus aux mauvaises conditions de détention : blessures aux pattes sur caillebotis.
Infections secondaires
Il existe aussi d'autres maladies induites directement par le gavage, car les modifications du mode et du type d'alimentation constituent un stress énorme pour l'organisme. Les infections secondaires, appelées "germes de sortie", sont donc le tribut à payer pour pousser la productivité : les parasites (verminoses intestinales) ; les champignons ; les infections bactériennes (entérites, maladies respiratoires, choléra). Ces maladies sont traitées par divers médicaments qui, donnés peu de temps avant l'abattage, laissent des résidus chimiques.
Au terme du gavage, les animaux ont presque doublé de poids, leurs muqueuses et leur peau ont pâli, leur plumage est collé par un enduit gras, leur démarche est difficile, leur abdomen est très lourd et leur respiration haletante car les sacs aériens sont compressés, les oiseaux n'ayant pas de diaphragme. Si le gavage continue, les animaux se couchent à bout de force, asphyxiés, pour mourir." thèse du docteur vétérinaire Castets.
Stress à répétition
Les animaux ne sont pas seulement malades. Ils souffrent aussi de troubles du comportement. Des éthologistes (spécialistes du comportement), tel le professeur René Dayan (faculté d'agronomie, Université Catholique de Louvain) ont prouvé qu'il cause de la souffrance, c'est-à-dire "une réduction critique d'un état subjectif de l'animal qu'on appelle son degré de bien-être". Comme celui-ci résulte de la satisfaction d'un certain nombre de besoins de base, leur absence partielle ou totale amène cette souffrance qui découle, en plus, de stimuli causant la douleur et le stress.
Privations
Pour les palmipèdes gavés, les insatisfactions ne manquent pas, et les stimuli négatifs abondent : la souffrance est indéniable. La première des privations est celle des besoins comportementaux : les activités naturelles ne sont pas possibles pendant la phase de gavage, les conditions d'hébergement étant incompatibles avec le bien-être des palmipèdes pour les raisons suivantes : le confinement dans des cages de batterie qui peuvent être encore inférieures à celles des poules : 25 cm par 15. Dans ces 375 cm2 il est impossible à l'animal de bouger, sans parler d'étendre une aile. Un canard n'y est pas seulement gêné mais aussi blessé, notamment au cou quand il dépasse de la cage. Et quand ils deviennent plus gros, certains ne peuvent même plus passer la tête au travers, ce qui les oblige à vivre constamment courbés.
Surpopulation
La surpopulation, quand ils sont dans des "parcs collectifs" de gavage, c'est-à-dire 15 à 18 sur 3 m2, occasionne du stress, de l'agressivité et des coups de becs. Comme pour les poulets, les canards sont débéqués à l'âge de 2 semaines. Pour des facilités de manipulation, on leur arrache également les griffes des pattes qui ne repousseront plus. Le bec d'un canard est son principal organe sensoriel, il s'en sert normalement pour percevoir les aliments sous l'eau. Le débécage restera extrêmement douloureux toute sa courte vie. Ces pratiques de mutilations existent dans tous les élevages, même les élevages dits traditionnels.
Manque d'eau
D'autres privations leur sont imposées. Ainsi, l'absence d'eau, car même en prairie avant gavage, il est impossible de nager et de nettoyer correctement son plumage (il reste desséché car le graissage naturel des plumes ne peut se faire). Le fait de devoir manger et boire passivement leur est pénible, car le nourrissage de force ne prend que peu de temps, alors que dans la nature ou en basse-cour, ils passent plus du tiers de leurs journées à la recherche de nourriture.
Nourriture
Puis vient la privation des besoins physiologiques, car la nourriture (poudre de maïs cuit et salé mélangée à de l'eau) qu'on leur fait ingurgiter n'est pas une alimentation équilibrée. Les palmipèdes ne la mangeraient pas d'eux mêmes, en tous cas pas dans de telles quantités. Car il n'y a pas d'autogavage, sauf chez des individus dont on a détruit une partie du cerveau. Le choix, spontané ou appris, des aliments adéquats pour la santé, ne peut plus s'effectuer.
Absence de contacts
La privation des besoins sociaux est particulièrement grave, car il s'agit d'espèces grégaires cherchant à former des groupes stables où existe la coopération. Le gavage leur fait vivre une existence où la recherche de contacts est totalement faussée. Il n'y a aucune possibilité de contacts avec les congénères visibles au travers des barreaux, ce qui entraîne une frustration des relations affiliatives et de leurs manifestations, toilettage mutuel notamment.
Conflit émotionnel
Les élevages n'étant composés que de mâles, il y a privation de relations avec les femelles, relations d'autant plus importantes qu'elles s'opèrent chez des espèces à formation de couple stable, fidèle : cela cause un stress social manifeste. Il y a une grave atteinte au comportement due au processus d'imprégnation filiale : dans les premières heures de leur vie, les oisons et canetons s'attachent aux premiers individus qu'ils voient, à savoir des humains : il y a dépendance affective à ces "faux parents" vers lesquels ils se précipitent volontiers. Mais cette tendance est progressivement contrariée par les douleurs croissantes dues au gavage, occasionnant des réponses de fuite très parlantes. Le conflit émotionnel est intense : on veut aller vers les humains et fuir les gaveurs. Cela devient une réelle anxiété.
Douleur
Et il y a la douleur elle-même, celle liée aux maladies et les souffrances qui viennent des récepteurs sensoriels de la bouche et du gosier, blessés par les passages répétés de l'embuc ou de l'aliment brûlant, mais aussi de l'élargissement de la rate et du foie, pressant sur d'autres organes comme les poumons.
Comportements anormaux
Enfin, le stress car : "Des perturbations de l'environnement répétées imposent à l'animal des mécanismes d'adaptation excessifs qui finissent par être dommageables pour sa santé", comme le souligne le Professeur René Dayan. Il y a stress ponctuel avec augmentation du rythme cardiaque et velléités de fuite, impossibles en cage, pour toutes les manipulations humaines et surtout au moment où le gaveur prend l'animal par le cou ou la tête pour le forcer à ouvrir le bec. Celui-ci s'agite fortement et manifeste, après le gavage, des comportements anormaux, essayant par exemple de tourner en remuant la tête. Le stress apparaît dès le premier jour de la vie, lors du transport depuis l'élevage du "naisseur", en train ou camion, sans eau ni nourriture. "Le stress répété que subissent les canards explique une large proportion des 4 à 10 % des cas de mortalité qui sont constatés jusqu'à l'abattage" commente René Dayan.
Un foie sur deux d'origine étrangère
Selon le ministère de l'Agriculture, la production a plus que doublé depuis 1993 et a été multipliée par huit en 20 ans. En 2002, le canard représente 96,5 % du total produit alors qu'en 1980 les proportions étaient d'un tiers d'oie pour deux tiers de canard. Au cours des années 1990, la production de canards gras s'est développée plus vite dans l'Ouest de la France (notamment en Vendée) que dans le Sud-Ouest. La part du Grand-Ouest, insignifiante en 1990, représente maintenant 22 % du total produit. Toutefois, en 2002, la production semble avoir augmenté plus fortement dans le Sud-Ouest que dans l'Ouest.
La hausse de la production en 2002 s'est accompagnée d'une baisse des cours. Le prix moyen des différentes catégories de foies gras de canard « sortie salle de découpe » s'élève à 19,32 euros/kg en 2002, en repli de 12 % sur 2001.
Les importations de foies gras crus de l'année 2002 atteignent 1200 tonnes, moitié canard, moitié oie, en baisse de 19 % par rapport à 2001. La baisse est beaucoup plus marquée pour le canard (? 30 %) que pour l'oie (? 4 %). Les importations de foies gras d'oies restent importantes par rapport à la production : plus de la moitié des foies gras d'oies consommés en France est d'origine étrangère, essentiellement hongroise. Pour le canard, les deux principaux fournisseurs sont la Hongrie (50 % du total importé) et la Bulgarie (45 %).
EN RESUME :
Un rapport accusateur
Le rapport par lequel le scandale est arrivé. Le 16 décembre 1998, le Comité scientifique pour la santé et le bien-être des animaux de la Commission européenne publie une enquête sur la production de foie gras. 93 pages qui concluent que le gavage est néfaste au bien être des animaux. C'est grâce à ce texte que la Commission européenne a pris des dispositions encadrant mieux cette pratique.
Maladie
Il est mentionné que le grossissement du foie est bien une affection pathologique (une maladie induite mais une maladie quand même), ce qui est confirmé par le fait que les palmipèdes mourraient si le gavage se poursuivait, ne serait-ce que quelques jours de plus. Il note que le nourrissage par gavage fait souffrir les oies et canards puisqu'ils éprouvent de l'anxiété, du stress et de la douleur.
Décès en grand nombre
Il indique que les animaux subissent des fractures (de 30 à 70%) et que les cages individuelles sont à bannir à cause du grand inconfort qu'elles engendrent. Il souligne, en outre, que le taux de mortalité est très élevé : les décès avant l'abattage peuvent aller jusqu'à 15%, mais la moyenne les fait tourner entre 2 et 4%, ce qui est déjà 10 à 20 fois supérieur à la "norme" d'environ 0,2% pour des palmipèdes équivalents mais non gavés.
Critique
Ce texte, très critique, a été élaboré par des scientifiques, dont plusieurs Français. Il a immédiatement suscité l'inquiétude des producteurs. Ainsi, en page 52, il est écrit "Comme les Français, en nombre croissant, deviennent concernés par le bien-être animal, il semble probable que les ventes de foie gras seront affectées. [?] Si aucune action reconnue du public n'est prise en vue d'améliorer le bien-être des animaux, un déclin lent ou rapide des ventes de foie gras est possible." Le rapport ne demande pas l'interdiction pure et simple du gavage, craignant que cela ne conduise à l'émergence d'un marché noir. En revanche, il réclame, au minimum, que le gavage industriel avec des machines soit prohibé.
Source : One Voice
Pour plus d'infos et de photos :
http://aequoanimo.com/Foie%20gras.html
http://terresacree.org/foiegras.htm
MANGER DU FOIE GRAS EST SYNONYME D'INDIFFÉRENCE ENVERS LES SOUFFRANCES D'UN ANIMAL TORTURÉ. IL N'Y A PAS DE GAVAGE SANS ANGOISSE ET DOULEUR POUR LES OISEAUX. LE FOIE GRAS EST UN FOIE MALADE...
moumoune- Membre de Platine
- Nombre de messages : 3370
Age : 49
Localisation : Vaucluse
Département : 84
Membre ou bénévole d'une association : Membre bureau asso Bergers Sans Famille ; Bénévole asso Mukitza, asso l'Arche d'Eternité
Date d'inscription : 31/01/2010
Re: L'INDUSTRIE DU FOIE GRAS ou LA SOUFFRANCE PAR GAVAGE... 1 seule solution
les gens sont tellement aveugles, hypocrites ou ignorants............
Catie- Membre de Diamant
- Nombre de messages : 1159
Age : 62
Localisation : France
Département : dordogne 24
Membre ou bénévole d'une association : LPO, WWF, IFAW, SPA, PETA, Alliance contre la corrida,CHEM, Cloud Foundation., fondation 30 millions d'amis..........
Date d'inscription : 24/06/2010
Re: L'INDUSTRIE DU FOIE GRAS ou LA SOUFFRANCE PAR GAVAGE... 1 seule solution
1 seule solution oui ... ne surtout pas en manger ni en acheter ...
mirabeau- Membre d'Or
- Nombre de messages : 517
Age : 60
Localisation : vaux andigny
Département : 02
Date d'inscription : 24/11/2009
Re: L'INDUSTRIE DU FOIE GRAS ou LA SOUFFRANCE PAR GAVAGE... 1 seule solution
NE LES OUBLIONS PAS !!!
EN MANGEANT DU FOIE GRAS, VOUS PARTICIPEZ A CA ...
Ne fermez pas les yeux devant leur souffrance SVP
EN MANGEANT DU FOIE GRAS, VOUS PARTICIPEZ A CA ...
Ne fermez pas les yeux devant leur souffrance SVP
moumoune- Membre de Platine
- Nombre de messages : 3370
Age : 49
Localisation : Vaucluse
Département : 84
Membre ou bénévole d'une association : Membre bureau asso Bergers Sans Famille ; Bénévole asso Mukitza, asso l'Arche d'Eternité
Date d'inscription : 31/01/2010
Re: L'INDUSTRIE DU FOIE GRAS ou LA SOUFFRANCE PAR GAVAGE... 1 seule solution
comme dans toute les situation aucun des extrême n'est bon. Je vais en manger mais je sais d'où ils vient, e sont des mais de mon oncle ils ont une ferme où ils produisent le maïs en bio et les animaux ne sont pas gavés de façon industrielle par contre ils n'ont pas beaucoup d'animaux et ne font que de la vente en direct. LA production est limité pour qu'ils puissent tout gérer à échelle humaine dans le respect des animaux. Pour avoir grandit en Ardèche je peux vous dire que beaucoup de petits agriculteurs aiment leurs animaux et ils leur donnent même des noms, les regardent évoluer, ils ont aussi une grande connaissance de la nature, la respecte et ont été sensibilisé il y a longtemps au bio. Un simple exemple il y a une dizaine d'année un voisin qui avait des nuisibles sur ses tomates à sulfaté un peu de l'insecticide qu'il mettait sur sa vigne. Le lendemain plus de nuisible.... ni de tomate la plante avait séché sur pied! Du coup ça l'a bien fait réfléchir et il a changé de façon de cultiver.
Pour en revenir au foie gras c'est sûr que si on ne connais pas de petit producteur il vaut mieux s'en passer.
Pour en revenir au foie gras c'est sûr que si on ne connais pas de petit producteur il vaut mieux s'en passer.
marie34- Membre de Platine
- Nombre de messages : 10530
Age : 44
Localisation : Montpellier
Département : 34
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: L'INDUSTRIE DU FOIE GRAS ou LA SOUFFRANCE PAR GAVAGE... 1 seule solution
Bon je sais que c'est un pu hors de propos mais pour eux qui sont intéressé par la question de vivre autrement, consommer autrement et produire autrement voilà un site qui mérite notre soutien et notre attention.
http://www.colibris-lemouvement.org/index.php/TH
bonne lecture
http://www.colibris-lemouvement.org/index.php/TH
bonne lecture
marie34- Membre de Platine
- Nombre de messages : 10530
Age : 44
Localisation : Montpellier
Département : 34
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: L'INDUSTRIE DU FOIE GRAS ou LA SOUFFRANCE PAR GAVAGE... 1 seule solution
Marie, je suis désolé...........celui qui respect l'animal ne l'inflige pas de souffrance..............et un foie gras et un foie d'un animal malade!!! C'est contre nature, même a petite échelle..........moi aussi j'ai un copain qui en fait, je ne vois aucun respect la dedans. Faut pas se voiler la face.
Catie- Membre de Diamant
- Nombre de messages : 1159
Age : 62
Localisation : France
Département : dordogne 24
Membre ou bénévole d'une association : LPO, WWF, IFAW, SPA, PETA, Alliance contre la corrida,CHEM, Cloud Foundation., fondation 30 millions d'amis..........
Date d'inscription : 24/06/2010
Re: L'INDUSTRIE DU FOIE GRAS ou LA SOUFFRANCE PAR GAVAGE... 1 seule solution
Catie a écrit:Marie, je suis désolé...........celui qui respect l'animal ne l'inflige pas de souffrance..............et un foie gras et un foie d'un animal malade!!! C'est contre nature, même a petite échelle..........moi aussi j'ai un copain qui en fait, je ne vois aucun respect la dedans. Faut pas se voiler la face.
+1 ...... Marie !
marie34 a écrit:Pour avoir grandit en Ardèche je peux vous dire que beaucoup de petits agriculteurs aiment leurs animaux et ils leur donnent même des noms, les regardent évoluer,
... et partir à l'abattoir une fois qu'ils n'en n'ont plus besoin !
Invité- Invité
Re: L'INDUSTRIE DU FOIE GRAS ou LA SOUFFRANCE PAR GAVAGE... 1 seule solution
là les paysans à qui je pense on conservé leurs vaches et chèvres jusqu'à ce qu'elles meurent de vieillesse. Je me souvient même d'une vache qui avait des poils blancs... et partir à l'abattoir une fois qu'ils n'en n'ont plus besoin !
marie34- Membre de Platine
- Nombre de messages : 10530
Age : 44
Localisation : Montpellier
Département : 34
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: L'INDUSTRIE DU FOIE GRAS ou LA SOUFFRANCE PAR GAVAGE... 1 seule solution
+ 1 égalementCatie a écrit:Marie, je suis désolé...........celui qui respect l'animal ne l'inflige pas de souffrance..............et un foie gras et un foie d'un animal malade!!! C'est contre nature, même a petite échelle..........moi aussi j'ai un copain qui en fait, je ne vois aucun respect la dedans. Faut pas se voiler la face.
Désolée Marie mais cette fois, je ne partage pas ton opinion ...
A quoi leur servent elles ???là les paysans à qui je pense on conservé leurs vaches et chèvres jusqu'à ce qu'elles meurent de vieillesse. Je me souvient même d'une vache qui avait des poils blancs
Pour le lait, le fromage ?
Si c'est le cas, nous savons ce que ça engendre.
Si tu veux me répondre, peux tu le faire par ici, stp :
https://ba-sans-famille.forumactif.com/souffrance-animale-quelles-solutions-f89/discussions-generales-t9092.htm#178247
merci
moumoune- Membre de Platine
- Nombre de messages : 3370
Age : 49
Localisation : Vaucluse
Département : 84
Membre ou bénévole d'une association : Membre bureau asso Bergers Sans Famille ; Bénévole asso Mukitza, asso l'Arche d'Eternité
Date d'inscription : 31/01/2010
Re: L'INDUSTRIE DU FOIE GRAS ou LA SOUFFRANCE PAR GAVAGE... 1 seule solution
Si l'on respecte les animaux, on ne fait aucune différence d'espèce...
donc évitons de manger du foie gras qui est la souffrance même pour ces animaux..
donc évitons de manger du foie gras qui est la souffrance même pour ces animaux..
SIRENE03- Habitué
- Nombre de messages : 145
Age : 68
Localisation : REUGNY
Département : 03
Membre ou bénévole d'une association : ADHERENTE ASSO.PAULINE ET MUKITZA
BENEVOLE ASS. PAULINE
Date d'inscription : 25/08/2010
Sujets similaires
» CONTRE L'INDUSTRIE DU FOIE GRAS
» VOUS AIMEZ LE FOIE GRAS??? ALORS MEDITEZ SUR CECI!!!!!
» elle est partie je suis seule
» Quelle est la solution ??
» LE VEGETARISME... Et si c'était une solution !!!
» VOUS AIMEZ LE FOIE GRAS??? ALORS MEDITEZ SUR CECI!!!!!
» elle est partie je suis seule
» Quelle est la solution ??
» LE VEGETARISME... Et si c'était une solution !!!
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum